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3 juin 2013 1 03 /06 /juin /2013 18:02
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2 juin 2013 7 02 /06 /juin /2013 17:10

Critique : Very Bad Trip 3 de Todd Phillips

 

 

Dernier tour de piste pour la Meute. Quelques bonnes idées et quelques vannes sauvent de peu cette conclusion trop lisse, qui prouve bien que tout devait s'achever.

 

 

Costard, air grave sur les affiches, enterrement : pour sûr, ce dernier volet de la saga Very Bad Trip se veut (faussement) plus sombre. Après le succès triomphal du premier volet sorti en 2009, qui était un génial concentré de trash aux retournements de plus en plus dingues (reflet d'une Amérique qui avait besoin de se lâcher), Very Bad Trip 2 avait été une semi-déception. Bien que plus transgressif et accentuant l'aspect universel du comportement primaire qui s'emparait de la fameuse Meute, la simple transposition de l'intrigue à Bangkok montrait également une véritable flemmardise de la part des scénaristes et du réalisateur. Ainsi, le déclencheur des tribulations de Phil (Bradley Cooper), Stu (Ed Helms) et Alan (Zach Galifianakis) n'est cette fois-ci pas un enterrement de vie de garçon qui tourne mal, mais l'internement de ce dernier, qui ne prend plus ses médocs et devient de plus en plus régressif. Mais bien sûr, rien ne se passe comme prévu : leur copain Doug (Justin Bartha) se fait enlever par Marshall (John Goodman, trop peu présent), obligeant la Meute à retrouver M. Chow (Ken Jeong), échappé de sa prison en Thaïlande et qui lui a volé un fourgon de lingots d'or.

 

 

Ce McGuffin (argument qui fait avancer l'histoire mais dont on se moque) symbolise assez bien la première erreur de Todd Phillips. En doublant le budget du premier épisode, il essaie de renforcer certains éléments identitaires de la saga (satire sociale, enquête débouchant sur des scènes d'actions anti-épiques), mais le fait à outrance. Les plans aériens et l'aspect film d'action/braquage semblent avoir remplacer l'imagination et l'humour. Les gags sont moins drôles, moins bien amenés et moins politiquement incorrects (les meilleurs sont majoritairement dans la bande-annonce). S'il est caricatural de dire qu'Hollywood et l'argent ont assagi Very Bad Trip, on n'est pas loin de la vérité. Il est cependant intéressant de voir nos losers adorés revenir à Las Vegas. Les souvenirs reviennent, et n'avaient jamais fini de les hanter. Phil déclare en apercevant la ville du péché : « Tout se termine ce soir ». En effet, la Meute cherche dans cette dernière aventure à exorciser ses démons, à retrouver une certaine convenance face à l'anarchie qui ne demandait qu'à se libérer.

 

 

En l'absence de gueule de bois (The Hangover du titre original), Todd Phillips sait pertinemment que son film risque d'être moins déjanté. Pour sauver les meubles, il concentre son récit sur Alan et Leslie Chow. Si les vannes et le faciès barbu de Zach Galifianakis fonctionnent toujours aussi bien à l'écran, on ne peut pas en dire autant de l'humour beaucoup plus gras (bien que parfois jouissif) qu'insuffle Ken Jeong à son personnage. L'insistance sur ce chinois au micro pénis confère à ce dernier voyage un aspect thérapeutique pour Alan, dont il est le double « raisonnable ». On s'étonne alors nous même d'être parfois ému (la séquence où il revoit le bébé du premier volet) au milieu des gags qui l'amènent vers une certaine normalisation (la séquence avec la sucette, bien que loufoque, en est un bon exemple). Si cette notion a toujours eu une certaine importance par le passé – les personnages se réconfortant de leur comportement animal à travers le mariageelle semble ici beaucoup trop radicale et contredit les précédents films.

 

 

Au final, Very Bad Trip 3 conclut la trilogie comme un lendemain de fête (et c'est sans doute involontaire). On a un sentiment de nostalgie en sachant que c'est fini (et les nombreuses références aux premiers films le renforcent) mais en même temps, et bien qu'on se soit amusé, on se dit qu'on ne recommencerait pas tous les jours. Après, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit : Very Bad Trip 3 reste un bon divertissement régressif (à savourer de préférence entre potes). Todd Phillips y a juste ajouté un aspect trop lisse et moins inspiré pour permettre à la saga de partir avec les honneurs. La séquence au milieu du générique a beau faire plaisir aux fans et retrouver le cycle infernal de la Meute, elle nous fait surtout regretter que le reste du film n'ait pas été aussi déjanté.

 

 

2013

États-Unis (1h40)

Avec Bradley Cooper, Ed Helms, Zach Galifianakis, Ken Jeong, Justin Bartha...

Scénario : Todd Phillips, Craig Mazin. D'après les personnage de Jon Lucas et Scott Moore.

Distributeur : Warner Bros. France

 

Note : 12/20

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1 juin 2013 6 01 /06 /juin /2013 12:22
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28 mai 2013 2 28 /05 /mai /2013 17:28

Sur la route mon père n’a quasiment pas dit un mot et j’ai fait de même. Une fois arrivés à l’aéroport, nous restons un instant silencieux dans la voiture.

-Ça y est Brooke, c’est l’heure, dit-il en évitant mon regard. On y va ? Je ne voudrais pas te faire rater ton vol...

Je me suis retenue de répondre et je me suis contentée de sortir de la voiture. Mon père n’est pas très bavard à la base mais j’aurais aimé qu’aujourd’hui, il soit plus présent, vous savez comme les parents dans les films, qui font un speech de 10 minutes sur tout ce qu’il faut faire ou pas, et pleins d’autres choses. Mais peu importe, je ne vis pas dans un film...

Après avoir pris ma valise, mon sac à dos et ma guitare, on est rentrés dans l’aéroport. Je n’ai pas l’habitude de voyager, alors forcément je me sentais minuscule dans cet immense hall et j’avais du mal à suivre mon père, qui avait l’air très sûr de où il allait. Je m’imaginais bien me perdre et devoir aller demander à une hôtesse de passer un message afin de retrouver mon père. «La petite Brooke Miler a perdu son papa, il pourra la retrouver au point de rencontre B. Merci». Le coup de coude de mon père me sortit de ma rêverie, j’ai mis un temps à comprendre qu’il fallait que je donne ma valise à l’hôtesse afin de la peser et de l’enregistrer.

Une fois les formalités réglées, mon père m’a accompagnée jusqu’à l’aire d’embarquement, je m’apprêtais à partir quand il me rattrapa par le bras. Je me suis retournée, je m’attendais à un hochement de tête amical, mais finalement il me prit dans ses bras et une fois ma tête posée sur son épaule, il me chuchota: « Fais attention à toi. »

Je me suis sentie toute drôle, je ne m’attendais pas à ça et d’un seul coup, l’idée de passer les portes de verre me paraissait totalement idiote et je n’avais qu’une seule envie : retourner dans ses bras. Mais au lieu de ça, j’ai pris mon étui à guitare, remonté mon sac à dos, donné mon billet d’avion à l’hôtesse avant d’emprunter le tunnel qui me permettrait de rejoindre l’avion. Sans me retourner... Après tout, je n’ai pas à me poser de question ou à regretter, cette colo c’est mon idée, c’est mon rêve, alors c’est parti pour deux mois de rêve !

Enfin après réflexion, je vais peut-être attendre d’être descendue de l’avion pour dire ça, parce que pour l’instant ce n’est pas encore le cas... Je n’avais jamais pris l’avion avant aujourd’hui et je comprends tout de suite que tant mieux : je suis dans une rangée de trois, placée sur le siège du milieu avec à ma droite une jeune femme d’une vingtaine d’années, blonde, plutôt grande qui parait très en colère et à ma gauche ce qui doit être son petit ami, un petit brin assez affecté par la situation... Pendant la première heure de vol ils n'arrêtent pas de se crier dessus pour une histoire de nourriture chinoise ou quelque chose comme ça... Deux rangs devant moi, je remarque une place vide, alors je laisse les amoureux tout les deux pour allez prendre cette bouée de sauvetage. Une fois assise j’ai l’impression que je vais enfin pouvoir être tranquille mais ce n’est pas l’avis de la personne derrière moi : elle joue à tapoter sur la tablette en plastique accrochée à mon siège. J’aurais pu l’égorger, je voulais juste la paix !

-Vous pouvez arrêter de taper sur votre tablette, je demande en me retournant.

En face de moi, à mon grand étonnement je ne vois pas un môme de 6 ans avec sa mère mais un garçon d’environ 16 ans, casque sur les oreilles avec un gros molosse en costume noir à côté de lui. Le garçon enlève son casque et me regarde comme si il ne comprenait pas tandis que le molosse commence à se lever. Je me confond en excuse, me retourne et m’enfonce dans mon siège... Mon voisin rigole bien, je le remets donc à sa place, énervée, honteuse... Le pire c’est qu’il continue avec sa tablette ! Je hais l’avion...

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 23:13
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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 23:13
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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 22:27

Critique : Only God Forgives de Nicolas Winding Refn

 

 

Le grand retour du duo Winding Refn/Gosling pour un trip violent et magnifique, qui risque d'en laisser plus d'un sur le carreau. Un puissant film sur l'impuissance !

 

 

Après le succès phénoménal et mérité de son dernier film Drive, dire que l'on attendait Nicolas Winding Refn et son Only God Forgives (qui a été présenté et a divisé la critique au festival de Cannes) relève presque de l'euphémisme. Conscient de la portée de son art métaphysique dont la beauté contraste perpétuellement avec l'extrême violence, le réalisateur a pris le risque de ne pas faire un Drive 2.0 (même si les bandes-annonces le présentaient ainsi). Certes, son nouveau chouchou Ryan Gosling est toujours un personnage taciturne au milieu d'une intrigue minimaliste prompte à une violence difficilement soutenable magnifiée par une mise en scène qui lui vaudrait déjà un nouveau prix. Cependant, il serait caricatural de limiter le cinéma de NWR à ces éléments...

 

 

En réalité, Only God Forgives part carrément du contre-pied. Le long-métrage s'ouvre sur une salle de boxe que dirigent Julian et son frère Billy, toile de fond d'un trafic de drogues géré par leur maman machiavélique. Chouette ! Un film sur les arts martiaux au milieu d'une histoire de dope ! Non, car Billy se fait assassiner après avoir violé et tué une gamine de 16 ans, mettant en cause un flic à la retraite aux motivations abstraites, maître dans l'art du découpage en rondelles (encore un qui a trop regardé Kill Bill !). L'horrible mère oblige alors Julian à venger la mort de son frère. Si l'histoire tient sur un timbre-poste, ce n'est que pour mieux permettre à Winding Refn (en plus de rendre hommage au film noir) de livrer des éléments auxquels on ne s'attend pas. Au milieu de cet univers majoritairement masculin, le seul personnage à pouvoir contrôler les choses est Crystal, la mère de Julian. Castratrice et entretenant une relation à la limite de l'inceste avec son fils, son incarnation hallucinée par Kristin Scott Thomas sublime le jeu de Ryan Gosling, dont Winding Refn casse l'image de beau gosse au regard profond. Il le prive de relations sexuelles, montre sa mère l'insulter et comparer son pénis à celui de son frère, et le montre comme un piètre boxeur lors d'un combat magistralement chorégraphié qui le laisse dans un bien triste état (et je ne vous parle que des symboles les plus explicites).

 

 

Heureusement, Only God Forgives ne se limite pas qu'à être un anti-Drive. Toujours marqué par des images trash, le cinéma de Nicolas Winding Refn sert d'expiatoire à son esprit tourmenté. Les scènes de violence barbare mais très stylisée, principal leitmotiv de sa filmographie, prennent encore plus d'importance dans ce long-métrage (notamment une allant crescendo et devenant rapidement insoutenable) car le cinéaste y dénonce la polémique idiote de la violence à l'écran. Il scinde la fiction de la réalité comme un sabre séparerait une tête de son corps. La premier acte de brutalité apparaît derrière une vitrine des rues de Bangkok, ville vivante et glauque où la lumière blanche est quasi-absente et où les couleurs chaudes laissent penser qu'un filtre a été placé devant l'objectif. Winding Refn use également de nombreux cadres dans le cadre, accentuant la présence de ses personnages incarnés par des acteurs majoritairement occidentaux au sein d'un décor oriental. Ce choc des cultures contribue au voyage métaphysique qu'entreprend Julian, à la recherche de sa virilité et de sens à sa vie. Paradoxalement, Only God Forgives se veut sensoriel. Le peu de dialogues, les sons accentués, les ralentis et les longs travellings accompagnés par la sonorité étrange des synthétiseurs de Cliff Martinez finissent de nous plonger dans ce trip fascinant, qui nous rappelle directement des chefs-d'œuvre comme Eyes Wide Shut de Stanley Kubrick.

 

 

A l'instar de ce dernier, Only God Forgives laissera certainement beaucoup d'incompréhension auprès des néophytes du cinéma de NWR et plus en général des non-cinéphiles. Le réalisateur assume pleinement le fait que son film soit destiné à un public spécifique (ce qui, il faut le reconnaître, est légèrement méprisant). De toute manière, les cinéphiles devront assurément retourner dans les salles obscures pour chercher toutes les subtilités de l'œuvre, principalement cachées dans la mise en scène magistrale du cinéaste. Si les arts martiaux ne sont qu'un prétexte à souligner le propos sur l'impuissance, ils servent également à appuyer l'importance de la maîtrise de soi, chose que Winding Refn semble avoir totalement comprise. Il demande alors à son spectateur une réflexion permanente, rendant le visionnage de son long-métrage aussi exigeant que la pratique de la boxe. Peut-on alors véritablement reprocher au film de ne durer qu'une heure trente ? Peut-on véritablement lui reprocher de ne pas assez expliciter certains éléments ? Que vous ayez aimé ou détesté Only God Forgives, si vous avez eu l'impression de vous prendre une belle mandale dans la gueule, c'est que Nicolas Winding Refn a réussi son coup !

 

 

2013

France, Danemark (1h30)

Avec Ryan Gosling, Kristin Scott Thomas, Vithaya Pansringarm, Rhatha Phongam...

Scénario : Nicolas Winding Refn

Distributeur : Wild Side Films/ Le Pacte

 

Note : 17/20

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21 mai 2013 2 21 /05 /mai /2013 22:43

-Bonjour et bienvenue à vous tous ! D’abord merci d’être venus aussi nombreux à notre petite rencontre clandestine. Même si vous ne pouvez pas me répondre pour le moment, sachez qu’on ne vous fera absolument aucun mal, mis à part de faire de vous des rebelles qui nous aiderons activement à renverser le pouvoir mis en place, et donc de diminuer indirectement votre espérance de vie. Des objections ? Ah ! Pardon, j’avais oublié que vous ne savez plus parler, bande d’idiots !

-Arrête de leur faire peur Aaron ! Notre but est qu’ils se rallient à notre cause, pas qu’ils s’échappent dès qu’ils en auront l’occasion !

-Hum… oui… ton raisonnement tient debout ! Donc, je me présente : Général Aaron. Je tiens à ce « Général », même si je n’ai jamais fait l’armée. Vous devrez donc me nommer, enfin quand vous saurez le faire, avec ce titre. Sinon, sanction. Je serais votre entraîneur physique et vous apprendrai l’art et la manière d’utiliser une arme, et de tuer ces saloperies de patriotes.

-Moi c’est David tout court. Je serais là pour vous enseigner la parole, ce que nous allons commencer dès maintenant. Prenez place autour de la table, et prenez chacun une feuille et un stylo. Le Général Aaron sera pour le moment juste là pour que vous ne fuyiez pas à la première occasion, du moins pour le début, mais vous n’avez rien à craindre de lui, même s’il est un peu… étrange.

-Merci du compliment, crétin !

-Bref, je vais maintenant vous demander d’inscrire votre nom, prénom et âge et haut à gauche de la feuille. C’est juste pour vérifier que vous savez écrire. Ah au fait, je tenais juste à vous dire que vous n’avez pas été choisis par hasard pour venir ici, mais vous en saurez plus un peu plus tard quand on vous aura assignés des tâches.

-Trêve de blabla ! Ecrivez !

-Calme toi Aaron, ne leur fait pas peur. Je sais que ce que vous allez faire est illégal, mais vous n’avez pas le choix de toute façon, car vous allez devoir exécuter tout ce que nous allons vous demander si vous voulez sortir d’ici un jour. N’ayez pas peur, IL ne saura jamais que vous l’avez fait, parce qu’IL ne sait pas encore que vous êtes ici. Et quand IL le saura, il vous fera passer pour mort, parce que vous deviendrez gênants. Et ses petits toutous vous traquerons jusqu’à ce que vous bouffiez les pissenlits par la racine.

-En même temps ce n’est pas pour rien que quand il a prit le pouvoir il a voulu vous interdire de parler pour pouvoir contrôler tous les échanges. En vous obligeant à communiquer par e-mail, portables ou même les réseaux sociaux, vous êtes tombés dans un cercle infernal. IL sait tout ce que vous dîtes, évite les révoltes et arrête les criminels, pour le « bien et la sécurité de tous »

-Non mais ils le savent déjà : « Une protection au détriment de la vie privée » c’est un passage du slogan. C’est juste que ces crétins croient vraiment que c’est pour leur bien !

-Tu sais Aaron, je pense que tu devrais sortir. C’est la première fois que j’en forme, alors laisse moi faire mon travail s’il-te-plaît. Il n’y a qu’une seule porte pour sortir de la pièce, donc tu n’as qu’a rester devant au cas où l’un d’entre eux ne s’échappe. Tu me gêne ! Dehors !

-Hum… mais c’est pas réglementaire, je dois rester…
-Nous sommes de rebelles ! Nous passons outre les règlements ! Reste dehors !

-D’accord, d’accord !

-Bien, maintenant qu’il est parti, nous allons pouvoir continuer. Tout d’abord, laissez moi voir vos

Prénoms… hum… hum. D’accord. Astrid, Jessica, Camille, Richard et Théo. Heureux de faire votre connaissance. Nous allons passer un bout de chemin ensemble !

Ecrit par Neorphiceler (Brice Pellerin), idée originale de Louis Anthore.

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21 mai 2013 2 21 /05 /mai /2013 21:13
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